"Aujourd'hui avec les réseaux sociaux, tout le monde est journaliste. Tout le monde a un avis sur tout, pense qu'en publiant 2-3 photos et un texte tout pourri, d'un seul coup on devient journaliste. Mais c'est quand même autre chose, on a une déontologie, une éthique, une nécessité de travail."
Mettre en lumière ces acteurs de l'ombre
(… mais je vous rassure, ils roulent souvent au soleil 😉 )
Blague à part, c’est un métier souvent fantasmé, que d’être journaliste vélo.
On imagine des salaires de dingue, du matos gratuit à ne plus savoir qu’en faire, une notoriété sans limite, invités sur tous les événements de la jet selle (comme la jet set mais version vélo… pardon, elle est nulle).
Alors sur DYNAMO j’avais envie qu’on entende la vérité sur ces mecs de l’ombre qui travaillent à mettre le vélo, des artisans, des marques, des projets et des produits en lumière.
"On est là pour être un peu le poil à gratter à la réflexion commune autour de ce qu'est le vélo. Pour amener des sujets complètements différents, tout en ayant un travail éthique par rapport à ce qui se fait de l'information dans le monde du vélo."
Entre l’info copiée-collée, la précarisation du métier, l’arrivée des influenceurs, la culture journalistique tirée vers le bas… Découvrez la réalité de leur métier de journaliste sport/vélo.
Mais ces deux compères ne se laissent pas faire !
Je vous laisse découvrir leur parcours, le quotidien de leur métier et leur vision sur leur projet commun de Bike Café. (Et de comment le Gravel va conquérir le monde – tatataaaa)
Et grosse exclu, on apprend pourquoi Bike Café s’appelle Bike Café !
Liens mentionnés dans l'épisode
→ Découvrez le site Bike Café « Le vélo est une aventure »
→ Contactez Matthieu Amielh via LinkedIn
→ Ne contactez PAS Patrick Van den Bossche via Facebook (laissez le rouler tranquille 😉 )
Crédit photo : Pauline Ballet, Philippe Aillaud